mardi 4 octobre 2016

Compostelle : détails pratiques

Charlotte nous partage son expérience du chemin de Compostelle.



Le choix du chemin

Dans la péninsule ibérique, il existe plusieurs « routes » pour rejoindre « Santiago de Compostela ». Le chemin du Nord, le chemin français, « la via plata » depuis Séville et le chemin du Portugal.
 
J’aurai souhaité emprunter le chemin du Nord (ou le chemin primitif) qui est le plus ancien car il longe la côté Nord de l’Espagne, mais les dénivelés sont très importants et les infrastructures d’hébergement peu développées. Il faut donc parfois faire des étapes de 50km.
 
Pour ma première expérience, j’ai fait le choix du « camino francès », le chemin français qui est le plus fréquenté car c’est celui sur lequel se trouve le plus d’infrastructures d’hébergement. Le camping sauvage est interdit dans toute l’Espagne et la majorité des hébergements sont ouverts de mi-mars à mi-octobre. 



La période


Malgré les nombreux avis défavorables que j’ai pu lire dans les forums, la période que je conseillerai est celle entre janvier et avril avant la semaine sainte en Espagne.

Bien que de nombreux établissements sont fermés jusqu’au 15 mars, il est possible de trouver une auberge ou un gîte ouvert dans presque chaque village et si ce n’est pas le cas, les étapes qui séparent les établissements ouverts sont raisonnables. Les « hospitaleros » sont au courant de ce qui est ouvert, il faut leur demander le prochain hébergement pour décider de l’étape suivante, ils se renseigneront pour vous.
 
Cette période me paraît la plus agréable car c’est la moins fréquentée et les grosses chaleurs ne sont pas encore au rendez-vous. Cela dépend évidemment des préférences de chacun mais marcher avec 100 personnes devant et derrière et devoir se lever tôt pour éviter la chaleur mais aussi pour être certain d’être dans les premiers à se présenter dans une auberge pour avoir une place ne me donne pas une vision agréable du chemin.
 
Pouvoir marcher à son rythme en croisant quelques personnes je trouve cela rassurant, mais l’autoroute que devient le chemin pendant l’été enlève, pour ma part, tout son attrait.

Le matériel

Nombreux sont les pèlerins qui partent trop chargés par peur de manquer de quelque chose et sont obligés de se défaire de leurs affaires rapidement. Sur le « camino francès », on trouve fréquemment des épiceries et magasins.

Avoir un sac à dos avec le strict nécessaire est un avantage indéniable, cela évite de se blesser. S’avoir s’alléger et se délester du superflu est tout un art (d’abord mental).




Les indispensables :


-  un sac à dos (le plus léger possible). Le poids ne doit pas dépasser 10% de votre poids. Idéalement : 7kg sans l’eau. Le sac doit être bien fixé, et le poids bien réparti. À savoir que le poids doit reposer sur vos hanches. Idéalement, les choses les plus lourdes doivent se trouver dans le fond du sac à dos, après y avoir mis le sac de couchage ;
- un sac de couchage ;
- une bonne paire de chaussure de marche (déjà faite à votre pied et une seconde paire de lacets) ;
- deux paires de chaussettes de marche (déjà portées et lavées plusieurs fois, cela empêche les ampoules aux pieds. Si vous sentez des frottements dans vos chaussures, je vous conseille de changer de chaussettes en milieu d’étape) ;
- une paire de basket (pour l’après-marche) ;
- deux tenues de marche (dont une sur soi) : 2 pantalons + 2 sous pull en laine de merinos + 2 polaires ;
- veste coupe vent et imperméable ;
- un collant/legging en laine de merinos (qui sert aussi de bas de pyjama) ;
- sous vêtements (2 paires) ;
- une cape de pluie ;
- une « credencial » : carnet du pèlerin qui doit être tamponné à chaque étape pour permettre l’obtention de la « Compostela » (attestation de réussite du chemin). Attention, sur les 100 derniers km, deux tampons par jour sont demandés. La credencial peut s’obtenir sur Internet ou bien à Saint-Jean-Pied-de-Port à l’accueil des pèlerins. La crendencial vous permet l’accès aux auberges et gîtes tout au long du chemin, elle est donc indispensable ;
- crème « NOK » que l’on trouve en pharamacie (à mettre sur les pieds chaque matin et chaque soir, cette technique m’a permise de marcher 900km sans aucune ampoule) ;
- nécessaire de toilettes : un flacon gel douche/shampoing / une brosse à dent/ dentifrice/ déodorant… ;
- serviette de bain de sport (est légère et sèche rapidement) ;
- trousse de secours : pansements, huiles essentielles (gaulthérie : muscle ; lavande aspic : brûlure, piqûre, ampoule ; tea tree : désinfectant, antiseptique ; menthe poivrée : fatigue, coup), baume du tigre ;
- une lampe de poche frontale (ou téléphone) ;
- appareil photo (téléphone) ;
- réveil (téléphone) ;
- un sac banane (papiers d’identité, mouchoirs, credencial, appareil photo, fruits secs. Cela évite de devoir s’arrêter pour aller chercher quelque chose dans le sac  à dos et peut également servir de « sac de ville ») ;
- papiers d’identité ;
- un carnet de note et un bic ;
- une couverture de survie (elle tient chaud si vous vous blessez) ;
- un petit couteau (équipé de fourchette, cuillère) ;
- coquille Saint-Jacques (elle se porte sur le sac à dos et est le signe distinctif du pèlerin). On la trouve sur Internet ou bien au bureau d’accueil des pèlerins à Saint-Jean-Pied-de-Port ;
- une pierre choisie sur votre lieu de départ (chez vous) que vous emportez avec vous. En tant voulu, vous saurez quoi en faire à la « Cruz del Ferro ». La symbolique est de se libérer de ce qui nous pèse ;
- votre liste d’intention. « Le chemin vous donne ce que vous lui demandez », alors allez-y !

Conseils :

Prenez votre temps, écoutez-vous ! Ouvrez les yeux, allez à la rencontre de ces gens qui vivent sur le chemin, écoutez-les ! Ouvrez-vous et souriez !

« Buen camino ! »

 

Charlotte JEAN (charlottejean17@msn.com)


Découvrez aussi l'article "Compostelle, une expérience symbolique" sur notre blog Nomadity Confiance en soi.





lundi 14 avril 2014

Randonnée au Mont Saint Hilaire

Notre projet sur les chemins de Compostelle n'est pas abandonné. Il est reporté. Comme annoncé dans un article précédant, nous sommes maintenant au Canada.

Nous vous présenterons donc quelques randonnées au Québec.

Nous avons commencé le printemps par une randonnée au centre de la nature du Mont Saint Hilaire. Il s'agit d'une des dernières forêts anciennes intactes du sud du Québec. Vous y trouverez 25 km de sentiers. Vous avez la possibilité de monter 4 sommets pour admirer la vue sur Montréal.

Nous avons choisi d'aller au sommet Rocky Red. Nous sommes ensuite redescendu par Dieppe et Rocky bleu. Cela fait environ 9 km et c'est suffit avec le dénivelé et la neige ;-)


Voici la présentation de la randonnée en vidéo :



Vous trouverez plus d'infos et de photos sur notre blog écologie et voyage.

Centre de la nature du Mont Saint Hilaire (Québec)

Centre de la nature du Mont Saint Hilaire (Québec)

Centre de la nature du Mont Saint Hilaire (Québec)

Centre de la nature du Mont Saint Hilaire (Québec)

Centre de la nature du Mont Saint Hilaire (Québec)

samedi 20 juillet 2013

Marche consciente

Nous avons testé un atelier de marche consciente il y a quelques semaines avec Marie-Hélène Faures à Malonne.

Cindy Theys - Domaine de Mozet 


La marche consciente est une pratique qui permet plus de présence.

Personnellement, elle me permet de me reconnecter à moi-même grâce à l'attention portée au souffle et aux mouvements. Le pas est synchronisé à la respiration.

Dans un premier temps, les pas sont très lents. J'étais très étonnée de constater le travail accompli dans la lenteur. J'ai ressenti tous mes muscles, j'étais beaucoup plus consciente de ce qui se passait dans mon corps.


Marche consciente au quotidien en Pyrénées... par mhfaures

 "La marche consciente est une pratique psycho-corpo- spirituelle du quotidien qui nous invite en silence, en paix et dans le calme, en rythme et en lien avec notre terre à nous (re)centrer sur qui nous sommes réellement, sur notre Essentiel, pas à pas pour plus de Présence à soi." Marie-Hélène Faures

Pour en savoir plus sur la marche consciente, je vous invite à visiter le site Marche consciente au quotidien.

samedi 15 juin 2013

Tout est positif sur les chemins

Cela fait longtemps que je n'ai plus publié et c'est avec beaucoup de plaisir que je reçois Mickael Vallade qui nous vient de Le Taillan-Médoc en France. Mickael nous parle de son expérience sur la Voie de Tours et le Camino Frances.

Pourquoi cheminer vers Compostelle ? Quelles étaient vos motivations ?

C'est à la fin des années 90, que j'avais déclaré à des amis et des collègues de travail, dès que je suis en inactivité, je prends un sac et des godasses et direction St Jacques depuis la maison.

Je ne me souviens plus exactement pourquoi, un reportage sur le chemin, en fait je ne sais plus, mais je sais l'avoir dit, car un peu avant d'arrêter de bosser, un amis m'a dit: alors Mike, quand est-ce que tu fais le Camino ?

Je suis parti de chez moi le 11 mai 2009, et le 24 juin j'étais dans la Cathédrale.




Quelle(s) voie(s) avez- vous empruntée(s) ?

En 2009, la Voie de Tours et le Camino Frances.

Quels sont vos coups de cœur ?

Nombreux sont mes coups de coeur, sur le Frances, l'Albergue O Abrigadoiro à San Xulian do Camino (j'étais avec un Belge qui avait récupéré un chaton, et Michaelangelo le patron adorait les animaux, ouf.
Le camino primitif, très difficile, où je fus seul pour marcher mais seul aussi dans les albergues. La via de la plata, où les étapes depuis Seville sont très chaudes et longues. Plus de 110 Km en trois jours avec 35°C à l'ombre.

Quelles sont pour vous les bénéfices du chemin ? Que retenez vous de positif ?

Tout est positif pour moi sur les chemins. Une seule gestion, accomplir la rando du jour. Oublié la maison et ses continuelles contraintes, vidage de tête, rencontres diverses, Carpe Diem. Je suis bien sur le chemin. Un sac à dos, de bonnes chaussures, une brosse à dents et des boules quies... et on travers la planète avec ses jambes.

Qu'avez-vous appris sur vous-même ?

Que je pouvais faire plus de mille kilomètres à pieds sans me plaindre, même si en 2009 j'étais perclus d'ampoules. J'ai appris à les soigner, à soigner les autres pèlerins, et surtout, ne plus en attraper.

Avez-vous rencontré des difficultés ?

Oui, bien évidemment. Une randonnée de plus de trois semaines ne se fait pas sans bobos et douleurs.
Partir 15 jours, voire 3 semaines reste assez facile. Mais quand la sixième semaine ou plus quelquefois, arrive, la gestion n'est plus la même. On prends sur soi, car il y a la fatigue la perte de poids, même si on mange correctement.

Les chiens, un peu sur le primitif, mais ça va quand même.

Sur tous les pèlerins filles et garçons, à très très peu d'exception, tous sympas.

Quels conseils donneriez-vous aux futurs pèlerins ?

Partir, c'est ce qu'il faut faire. Un sac à dos léger, une taille et demie à 2 taille de plus pour les chaussures ( très très très...important). Un peu de marches avant, et Vamos...



Je remercie Mickael pour ce partage motivant ! Je vous invite à découvrir son aventure ainsi que de nombreuses informations sur les chemins son site 

Vous souhaitez vous aussi partager votre expérience ? Il vous suffit de cliquer sur l'onglet interview et de répondre à quelques questions




vendredi 15 mars 2013

Moins de choses, plus de bonheur

  

Vivre dans la simplicité avec très peu de choses, c'est l'une des choses que j'ai préféré dans cette aventure. Cela procure un grand sentiment de liberté.

Dans la vidéo, il fait en même temps de la pub pour son business ;-)
Mais le fond du message reste intéressant.
Qu'en pensez-vous ?

 

samedi 1 septembre 2012

Se réjouir chaque jour

Aujourd'hui nous recevons Luc, de Saint Denis en France.
Luc nous parle de ses multiples expériences sur les chemins de Compostelle en France et en Espagne.



Pourquoi cheminer vers Compostelle ? Quelles étaient vos motivations ?

Je n'avais pas de motivation très claire lorsqu'en 2005 j'ai emprunté mon premier camino, si ce n'est que je venais de quitter ma vie professionnelle et que le chemin de Saint Jacques était un de mes projets (parmi beaucoup d'autres) d'occupation de ma retraite.

Après 3 caminos, j'ai eu le temps d'approfondir mes motivations.

La première est mon goût de la marche en solitaire, goût que j'ai hérité de mes parents vosgiens.

La seconde, c'est que le chemin reste pour moi une aventure dans un monde très (trop) sécurisé. Je porte sur mon dos tout ce que je possède. Chaque journée, chaque détour du chemin, chaque rencontre réservent ses surprises.

La dernière, c'est que le chemin est un pèlerinage. Pas au sens d'aller prier sur la tombe de l'apôtre. Mais au sens d'Abraham : une longue marche à la rencontre des autres et de soi-même (et Dieu sait que les longues heures de marche sont propices à l'introspection). Et, pour les croyants dont je suis, une rencontre avec Dieu.


Quelle(s) voie(s) avez- vous empruntée(s) ?

En 2005, je suis parti avec ma femme sur la voie du Puy et le camino Francès.
En 2009, j'ai emprunté la voie d'Arles depuis Pau. J'ai franchi le Somport, emprunté le camino Aragonès, puis le camino Francès à partir de Puente la Rena.
En 2012, je suis parti de Bayonne sur le camino del Norte que j'ai quitté à Villaviciosa pour prendre le camino Primitivo.




Quels sont vos coups de cœur ?


Mon plus grand coup de cœur est certainement la Meseta, cette immensité plate entre Burgos et Léon. Ce passage ne peut qu'être adoré ou détesté !

J'ai aussi beaucoup aimé la traversée des Asturies et son agriculture de montagne qui m'a ramené plus de cinquante ans en arrière.

Les accueils spécifiquement pèlerins, souvent tenus par des religieux mais pas toujours, m'ont beaucoup apporté : le monastère des filles de Jésus à Veylats, Granon, Tosantos, Güemes...



Quelles sont pour vous les bénéfices du chemin ? Que retenez vous de positif ?

Je crois que le chemin de Saint Jacques vous transforme.
Comment ? La réponse dépend sans doute de chacun ! Pour moi, il s'agit sans doute d'une attention plus grande aux autres et un regard plus paisible sur les événements de la vie.


Qu'avez-vous appris sur vous-même ?

Que certaine de mes limites physiques étaient dans ma tête plus que dans mon corps.



Avez-vous rencontré des difficultés ?

Je crois que certains pèlerins, peut être plus nombreux qu'on le croit, vont à la rencontre d'une épreuve en prenant le chemin. Quelque chose qu'ils n'imaginaient pas et qu'ils ne pouvaient pas anticiper. C'est parfois physique, mais cela peut aussi être moral. Généralement, on doit surmonter cette épreuve pour arriver à Santiago. Et on en sort grandi.

Mon épreuve personnelle a concerné ma relation avec ma femme qui a traversé un phase très difficile peu avant Burgos, mais dont nous sommes sortis tous les deux plus rapproché que jamais.



Quels conseils donneriez-vous aux futurs pèlerins ?

Mon conseil principal est de se réjouir chaque jour.

Comme dans la vie quotidienne, certains événements peuvent vous gâcher la journée : un ronfleur vous fait passer une nuit blanche (fréquent si vous n’avez pas emmené de boules Quiès), un hôte où une hôtesse vous accueille mal (rare mais possible), une serveuse maladroite renverse un plat de spaghettis sur vos genoux (exceptionnel, mais cela m’est arrivé), on vous facture la tranche de pain supplémentaire que vous avez demandée pour le petit déjeuner (Eh, Oui ! Les coutumes changent d’un pays à l’autre !).
N’attisez pas votre rancœur et votre colère.

Vous vivez une expérience exceptionnelle et peut-être unique dans votre vie. Ne la gâchez pas par votre mauvaise humeur, savourez-en chaque instant !






Je remercie Luc pour ce partage très inspirant ! 

Vous souhaitez vous aussi partager votre expérience ? Il vous suffit de cliquer sur l'onglet interview et de répondre à quelques questions

lundi 20 août 2012

Rando "Les chutes du Barbouillon" 15,4km

Cette fois, nous vous emmenons à Gedinne.
Je vous invite à découvrir cette magnifique randonnée en vidéo.




Pas de balisage mais vous pouvez suivre mes explications ou imprimer un extrait de la brochure Balades et Ravel.

Point de départ : l'église de Gedinne (Grand'Place à 5575 Gedinne). La promenade se fait en boucle. Vous pouvez donc garer votre voiture en face de l'église.

Si cela vous dit et qu'elle est ouverte, je vous invite à entrée un instant dans l'église.



église de Gedinne


1) Lorsque vous êtes dos à la porte d'entrée de l'église, prenez à gauche et descendez la rue.

2) Ensuite tournez à droite. Vous verrez un panneau Hall des sports. Longez le Hall des sports et ensuite le terrain de football.

3) En continuant tout droit, vous arrivez assez rapidement à un petit chemin de terre.
Vous continuez toujours tout droit en longeant un cours d'eau qui s'appelle la Houille.





4) Traversez le petit pond en bois et continuez tout droit.

5) Au carrefour, descendez tout droit.





6) Au bout du chemin de terre, continuez tout droit et montez sur la route asphaltée en direction de Malvoisin.

7) Continuez à monter jusqu'à ce que vous voyez les panneaux annonçant la "Tête de chien". Prenez à gauche et suivez les indications pour aller à la Roche au chien.

8) Continuez tout droit et suivez le balisage rouge et blanc.

Roche au chien


9) Dans la descente, vous allez rencontrer un premier petit pont. Continuez tout droit.

Ensuite, il y a une descente un peu plus raide.

10) Au deuxième pont (celui ou Xavier vous parle du bruit de l'eau), vous verrez les chutes (pas très impressionnantes mais c'est joli). Tournez à droite après le pont.

11) Au carrefour en Y, prenez à droite.

12) Passez le pont (sympathique endroit de baignade lorsqu'il fait chaud comme aujourd'hui) et prenez à gauche vers Vencimont.





A Vencimont, de nombreuses maisons ont un petit écriteau en bois avec une citation. Sur celui-ci, vous pouvez lire "Il faut toutes sortes de gens pour faire un monde".


13) Au carrefour en Y, tournez à gauche et prenez en direction de Gedinne.

14) Au second carrefour en Y, prenez la route qui monte à droite. Vous marchez un petit temps sur l'asphalte en longeant le bois. Dans le tournant, prenez le petit chemin qui monte à gauche dans les bois.

15) Continuez tout droit et suivez les balisages verts et bleus. Au carrefour, vous montez à gauche en suivant les balisages verts et bleus.

16) En haut de la côte, vous continuez à suivre le balisage et vous prenez à droite. Ensuite, prenez la première à gauche.

17) Au carrefour, continuez tout droit. Vous allez voir des arbres magnifiques.






18) Au carrefour en Y, tournez à gauche.

19) Au prochain carrefour, vous apercevez des champs sur la droite. Sortez du bois et prenez la route à travers champs.


20) Au bout de cette route, tournez à droite pour entrer dans le village de Sart-Custinne. Après l'église prenez à droite rue de Rienne (l'endroit où nous nous sommes arrêtés pour manger).

21) Au bout de la rue, prenez le chemin à gauche. Continuez tout droit.



22) Au bout du chemin, traversez la route. Et prenez le petit chemin tout droit jusqu'à l'entrée de Gedinne.

23) Au stop, descendez à droite. Vous devriez apercevoir l'église.

Nos impressions : 

Une des plus belles randonnées que nous avons faites en Belgique. Vous marchez la plupart du temps en pleine nature. Les paysages sont variés.

Beaucoup plus facile que ce que nous pensions. La dernière fois que nous avions fait une randonnée "difficile" c'était au Québec au parc de la Mauricie. Et la notion de difficulté n'est vraiment pas la même :-) Pas de réelle difficulté ici mais une promenade assez sportive (quelques montées et descentes). Nous avons fait les 15,4 km en 3h17 (sous 36°) en marchant à l'aise pour apprécier le paysage. Si vous êtes peu habitué à marcher, il faudra peut-être compter 4h - 4h30.

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